Hey, bouge, j'ai du taffe à faire
Le rap casse la tête, je dois être là, pas m'taire
Si on m'trouve, faut qu'j'épate, ça m'dead
Les yeux rouges, 200 pages par terre toutes déchirées
Hey, elle est si belle quand j'lui passe la teille
Sourire en coin d'sirène, c'est l'extase, ça m'plaît
J'dois faire grimper les décibels, elle m'repasse la teille, j'suis déchiré
Un soubresaut du coeur valsant à l'année longue
À mort la pluie, le tonnerre qu'on dissipe en vagues de chaleur
L'attente asphyxie la ferme emprise du présent
En coccinelle, en libellule servile aux éléments
Bain-tourbillon de rêves, une trêve après la guerre
Ma lune de tangerine a saigné longtemps pour la peine
Semelles érodées en toute immobilité
À deux doigts d'goûter la vie d'lacets détachés
Éclairés par un moonlight, on start la braise avec le journal
Run mon chum, vas-y, cours loin, saumon hustlin contre le courant
Soupe Habitant, hot-dogs, pâtes aux sauces plein l'belly
Mais j'ai passé toute la nuit à vivre la vie d'une libellule
L'thème, pas libellé, tant qu'les pulsions seront libérées
Tant qu'on pourra rock a flow, j'continue d'dire qu'on est bénis
Travaille en ébéniste, les feedbacks seront bénins
Crié toute mon âme si j'en veux plus, I'mma get it
Frérot, I'mma get it, frérot, I'mma get it
Sur ce good love en boucle, on est ready pour les Guinness
Éclairés par un moonlight, on start la braise avec le journal
Run mon chum, vas-y, cours loin, hit the road sur un coup d'tête
Yeah, ouais
Perds-moi dans tes fossettes, comment faire exploser c'rap
Mon coeur suit jamais l'veau-cer non, non, non
Y a qu'les tarés qui changent pas d'manières
Faut s'décider, faudrait s'tailler, j'suis en âge d'la veine
Fuck une carrière prise dans l'fossé
J'veux des grosses scènes, ouais, ouais, ouais
Yeah, yeah, yeah
Perds-moi dans tes fossettes, comment faire exploser c'rap
Mon coeur suit jamais l'veau-cer non, non, non
Y a qu'les tarés qui changent pas d'manières
Faut s'décider, faudrait s'tailler, j'suis en âge d'la veine
Fuck une carrière prise dans l'fossé
J'veux des grosses scènes, ouais, ouais, ouais
Un soubresaut du coeur valsant à l'année longue
À mort la pluie, le tonnerre qu'on dissipe en vagues de chaleur
L'attente asphyxie la ferme emprise du présent
En coccinelle, en libellule servile aux éléments
Bain-tourbillon de rêves, une trêve après la guerre
Ma lune de tangerine a saigné longtemps pour la peine
Semelles érodées en toute immobilité
À deux doigts d'goûter la vie d'lacets détachés